Massage, saine alimentation & Poids santé

Massage

Le massage à lui seul ne peut faire mincir, et encore moins maigrir mais réalisé dans le cadre d’un programme alliant alimentation équilibrée et activité physique régulière il contribue à maintenir un poids santé. Comment ? En s’attaquant aux bourrelets disgracieux, en aidant notre corps à mieux éliminer mais surtout en nous accompagnant dans nos efforts; Une aide précieuse pour reprendre confiance en nous et en notre corps.

Méthode du palper-rouler et pétrissage

La cellulite, personne n’y échappe, ou presque… Elle touche 90 % des femmes ! En plus, ce n’est pas forcément une question de poids : la peau d’orange touche aussi les minces.  Le massage doit s’attaquer aux « amas graisseux » et pas question d’effleurer doucement la peau; des gestes fermes et précis s’imposent. L’objectif est de les briser pour accélérer la fonte des bourrelets et de la cellulite. 

Plusieurs techniques de massages sont utilisées pour venir à bout de la cellulite. Elles sont pratiquées par des médecins, le plus souvent des kinésithérapeutes, des massothérapeutes et des instituts de beauté et sont répertoriées en deux catégories:
    Raffermissant et tonifiant
    Relaxant

Néanmoins, c’est la méthode du palper-rouler qui consiste, pour le thérapeute, à prendre un pli cutané et à le rouler, le pétrir qui s'avère être la plus efficace. Le massage se révèle ainsi vigoureux, voire douloureux surtout si la cellulite est ancienne mais très efficace sans pour autant s'attendre à un résultat immédiat.

A noter que ce massage peut laisser des marques, voire des bleus, notamment chez les femmes qui ont la peau fine donc à garder en tête si un voyage dans le sud est prévu dans les jours qui suivent la séance.

Glycation

Le sucre se lie aux autres ingrédients puis caramélise l'ensemble.

La glycation est une réaction chimique spontanée entre une protéine et un sucre. Une fois la réaction achevée, la protéine à présent "glyquée" ne réagit plus. Le corps ne peut plus l'utiliser, ni s'en débarrasser. Avec le temps, les protéines glyquées s'accumulent comme des déchets non recyclables et viennent perturber le fonctionnement normal de votre organisme.

La glycation touche les muscles, les vaisseaux sanguins, les yeux, le cerveau, et bien d'autres parties vitales. La glycation est aussi reconnue pour provoquer des dégâts sur le système nerveux, et sur les reins.

Plus votre alimentation est riche en sucres et en féculents digérés rapidement (pains, pâtes, pommes de terre), plus vous encouragez la glycation à tous les étages, le vieillissement prématuré,et le développement des maladies dégénératives.

.....Votre corps se caramélise à petit feu.

Source: http://www.santenatureinnovation.com/

 

 

 

 

Saine alimentation

Bien que le massage permette d'éliminer la rétention d'eau, de localiser et de traiter les capitons graisseux, il faut agir sur tous les plans. Une saine alimentation et des exercices réguliers doivent être intégrés au programme de perte ou de maintien du poids.

Le Guide Alimentaire Canadien est un outil indispensable pour vous aider à atteindre votre objectif. Cependant, si vous souffrez d'un quelconque problème de santé, il est essentiel que vous consultiez d'abord votre médecin traitant avant d'entreprendre quelque programme que ce soit.

Vous pouvez télécharger la version imprimable du guide alimentaire canadien à l'adresse suivante:

http://www.hc-sc.gc.ca/fn-an/alt_formats/hpfb-dgpsa/pdf/food-guide-aliment/print_eatwell_bienmang-fra.pdf

ou visitez le site web de Santé Canada http://www.hc-sc.gc.ca/fn-an/food-guide-aliment/index-fra.php

Une pomme par jour éloigne le médecin pour toujours

La pomme ralentit le vieillissement prématuré.

Les anthocyanines, des pigments naturels à l’action antioxydante, pourraient contribuer à protéger contre les cancérogènes, faire baisser le taux de cholestérol LDL et prévenir la formation de caillots sanguins.

Le glutathion pourrait exercer une action anticancéreuse et accroître les défenses de l’organisme contre les infections.

Le miel est le parfait elixir de santé

Le miel regorge de vertus bénéfiques pour la santé de l’homme telles que des propriétés antibactériennes, cicatrisantes, anti-inflammatoires, antioxydantes, nutritionnelles, digestives, antiseptiques, respiratoires et la liste est longue…

Connu et reconnu pour ses vertus curatives, le miel est un aliment naturel qui est utilisé depuis l’antiquité. Les Égyptiens, les Assyriens, les Chinois, les Grecs et les Romains utilisaient le miel pour les blessures et les maladies de l’intestin.

Riche en sels minéraux, phosphore, calcium et en fer, le miel améliore la croissance des enfants en aidant la fixation du calcium et du magnésium sur les os. Sa grande diversité en vitamines facilite la digestion des autres aliments. D’après une étude réalisée, la consommation de miel fournirait une protection contre le cancer du sein, cette protection serait due à son pouvoir antioxydant.

De plus, le miel est considéré comme un remède précieux pour le traitement des brûlures, on a montré que l’application locale du miel permet d’accélérer la cicatrisation des blessures et des plaies, par ses propriétés antimicrobiennes, immunologiques et biologiques.

 

Utilisation du miel comme cicatrisant



L’utilisation du miel comme auxiliaire à la cicatrisation est très ancienne, mais revient en force, aussi bien dans les pays dits « évolués » que dans les pays en voie de développement, dans lesquels l’accès aux antibiotiques est limité, du fait de leurs coûts et/ou de leurs disponibilités.

Au CHU de Limoges, au service de chirurgie abdominale, le miel est régulièrement utilisé comme aide à la cicatrisation ; après avoir nettoyé la plaie au sérum physiologique, les infirmières appliquent une compresse imbibée de miel directement sur la plaie, cette compresse est ensuite recouverte d’une compresse stérile de protection. Les pansements sont remplacés tous les jours. Le taux de cicatrisation est amélioré de plus de 10 % au bout de deux semaines mais, surtout, il n’y a pas besoin de traitement antiseptique complémentaire…

En Afrique, à Lome, une étude de deux ans a été menée afin de déterminer l’efficacité du miel dans la cicatrisation. Les résultats sont sans appel : 100 % de cicatrisation, y compris dans des cas compliqués (l’étude portait sur différents cas, dont des cas de plaies opératoires infectées et d’ulcères veineux) ; malgré des facteurs de risques élevés (diabète, obésité, sous nutrition, infection VIH), le traitement s’est montré efficace. Enfin, dans le cadre de l’étude, il a été démontré une disparition des germes bactériens très efficace (au bout de 15 jours de traitement, on notait une diminution de plus de 60 % des germes, 90 % au bout de 30 jours, 99 % au bout de 45 jours).

 

 

Voici une vidéo montrant la puissance cicatrisante du miel

Le miel est un aliment sain, léger, naturel et riche en calories. Il contient des glucides, des protéines, des lipides, des enzymes et de nombreuses vitamines. Une cuillère à soupe du miel fournit environ 60 calories, 11 g de glucides, 1 mg de calcium, 0,2 mg du fer, 0,1 mg de Vitamine B et 1 mg de vitamine C.


Contrairement à ce qu’on peut entendre, le miel ne fait pas grossir. C'est un aliment dont le mode d'action n'est pas encore complètement élucidé. Son potentiel médical et ses propriétés curatives méritent toute l'attention, plus d'évaluation et d'investissement.

Le miel est un puissant guérisseur

Les chercheurs s’étonnent de l’énergie mystérieuse qui existe dans le miel. Il peut guérir des maladies incurables, et ils se demandent : comment la guérison survient ? Que fait le miel à l’intérieur des cellules de l’organisme, pour arrêter l’évolution des cellules cancéreuses aussi soudainement ? Ainsi que l’accroissement de plusieurs bactéries dans l’organisme ? Ils constatent également que le système immunitaire devient plus actif et plus développé… qu’est ce qui se passe exactement ? Personne n’a la réponse !

Le miel contient deux groupes de produits qui agissent contre les bactéries. Sans entrer dans les détails on peut dire que l’un se forme dans le miel et que son efficacité varie en fonction de l’origine florale du miel et que l’autre est sécrété directement par la glande nourricière de l’abeille. Le miel à la propriété de résister aux changements de température, à la lumière et de garder longtemps son efficacité. Il agit fortement contre les bactéries.

Le miel possède la capacité de stimuler le système immunitaire, soit les défenses naturelles de l’organisme. On n’a pas encore identifié les composants responsables de cette action.

Le miel contiendrait "les informations" qui proviennent des déplacements des abeilles pendant la production du miel. Ces informations existaient déjà dans le nectar des fleurs. Ensuite elles interagissent dans l’estomac des abeilles et ajustent de plus en plus leur efficacité pour être le plus profitable. C’est en cela que résiderait le secret de la guérison avec le miel.

Par sa structure le miel peut couvrir uniformément le fond des plaies. Il absorbe les déchets et les tissus morts issus de la plaie en fonction d’enzymes particulières qu’il contient et favorise la création du tissu sain qui va combler la plaie. Il est tout indiqué pour guérir les plaies chroniques, souvent envahies par plusieurs souches bactériennes, très difficiles à maîtriser, comme on en trouve dans les ulcères variqueux. De plus, il limite l’adhésion des pansements sur les plaies en créant une interface visqueuse, non collante. Avec les médicaments usuels proposés par l’industrie pharmaceutique, il est difficile d’obtenir une action antibactérienne large, avec à la fois un effet désinfectant et antibiotique.

http://www.energie-sante.net/ps/?p=912

 

 

Le sirop d’érable : le médicament miracle !

Connu pour ses propriétés thérapeutiques extraordinaires, le sirop d’érable attire l’attention des grands chercheurs dans le monde, vu ses magnifiques atouts alimentaires et plus particulièrement son efficacité contre les bactéries.

Selon des expériences menées en laboratoire par des chercheurs de l’Université McGill, une dose concentrée de cette spécialité canadienne rend les bactéries pathogènes plus sensibles aux antibiotiques.

Comment réagit-il ?

Dans le cadre du congrès annuel de l’American Chemical Society (ACS) organisé dernièrement à Anaheim, en Californie, des chercheurs de l’Université du Rhode Island ont révélé que le sirop d’érable agit avec le potentiel d’un superaliment, et ce grâce à certaines molécules ayant des propriétés anti-inflammatoires et anticancéreuses.

« Nous avons enlevé l’eau et le sucre d’une boîte de 540 millilitres de sirop d’érable pour en extraire 8 à 10 millilitres de composés phénoliques », explique Nathalie Tufenkji, une des chercheurs qui ont démontré l’effet anti-cancérigène du sirop d’érable.

« L’effet synergique est tellement fort, qu’on peut diminuer dans certains cas jusqu’à 90% les doses d’antibiotiques utilisées normalement et, du coup, ralentir le développement de la résistance bactérienne aux médicaments », souligne la chercheuse.

D’où vient le sirop d’érable ?

Le sirop d’érable est un sirop produit à partir de la sève « eau d’érable » de l’érable à sucre. On appelle sa culture « l’acériculture ».

Le sirop d’érable est un produit naturel qui ne contient ni additifs, ni colorants. C’est un produit propre à l’Amérique du Nord, et plus particulièrement, au Québec. Commercialisé dans le monde entier et populaire dans des pays comme l’Allemagne et le Japon, sa consommation est courante au Québec et en Ontario.

Ses bienfaits

Les bienfaits du sirop d’érable en bref :

Propriétés antioxydantes:

En plus de sa richesse en minéraux, le sirop d’érable contient 54 antioxydants qui apportent plein de bienfaits pour les personnes diabétiques, en réduisant l’inflammation des vaisseaux sanguins.

Peu de glucides:

Par rapport aux autres types de glucides, le sirop d’érable contient un faible indice  glycémique, tout comme le miel, la mélasse et le sirop d’agave, ce qui aide l’organisme à maintenir le taux de glycémie le plus près possible des valeurs normales.

Magnifique source d’énergie:

Le sirop d’érable est un excellent choix nutritionnel, pour les sportifs notamment. Il apporte rapidement des glucides aux muscles et génère plein d’énergie, avant, pendant et après l’activité physique.

Compte tenu de ses vertus uniques et étonnantes, le sirop d’érable, ou le médicament miracle, est une très bonne option alimentaire qui mérite d’être intégré dans la plupart de nos menus quotidiens.

 

 

Source: http://www.zinezaz.com/maison/alimentation/sirop-erable-medicament-miracle/?utm_source=taboola&utm_medium=referral&utm_term=msn-can-fr-home

Épices curatives

En plus de conférer des saveurs complexes aux aliments, certaines épices possèdent des propriétés médicinales. En voici sept, auxquelles vous pouvez avoir recours pour soulager certains symptômes et même traiter des problèmes de santé légers.

Cannelle

La cannelle est l’une des épices les plus anciennes. On l’utilisait déjà en Égypte il y a 2500 ans pour embaumer les morts. Contrairement à la plupart des épices, qui proviennent des graines des plantes, la cannelle est composée de la couche interne de l’écorce d’un arbre, qui est séchée puis roulée.

Dans la phytothérapie classique, la cannelle est considérée comme un expectorant chaud et, à ce titre, est employée pour soulager la congestion et le phlegme des poumons, et pour arrêter l’écoulement nasal.

En ajoutant un bâtonnet de cannelle à votre infusion au gingembre, vous en augmenterez les effets. Aussi, assaisonnez votre gruau ou votre muesli avec de la cannelle en poudre.


Clou de girofle

Le clou de girofle est originaire de l’est de l’Indonésie et a probablement servi de premier rafraîchisseur d’haleine. En Chine, sous la dynastie Han, les courtisans en mastiquaient pour rafraîchir leur haleine avant de s’adresser à l’empereur.

Parmi les quelque mille aliments et épices étudiés par des chercheurs de l’université d’Oslo, le clou de girofle était celui qui renfermait proportionnellement le plus d’antioxydants: un seul gramme, soit environ 1/2 c. à thé, en contient à peu près la même quantité que 1/2 tasse de baies.

Le clou de girofle a sa place dans le cabinet d’épices médicinales. On peut en prendre pour soulager les ballonnements et les flatulences. Il élimine les parasites, bactéries et champignons dans le système digestif. Non seulement les fruits cuits avec une pincée de cette épice sont-ils délicieux, mais ils se digèrent plus facilement. Il est efficace contre le mal de dents, le rhume et les rhumatismes. Il soigne même les infections urinaires.

On l'utilise pour soigner les coupures, les morsures, les brûlures et les contusions. De plus, l'odeur du clou de girofle stimule la créativité mentale. On peut en ajouter dans un thé chaud.

 

Cumin

Le cumin est une autre épice qui est particulièrement riche en antioxydants et connu pour être particulièrement bon pour la digestion. Il stimule la vésicule biliaire et le pancréas pour sécréter des enzymes et de la bile qui décomposent les aliments en nutriments que votre corps peut utiliser. Le cumin contribue également à détoxifier le corps et est très efficace pour les troubles respiratoires comme l'asthme et la bronchite.

Le cumin, comme la cannelle, contribue à maintenir des niveaux de glycémie stable, ce qui signifie qu’il est idéal pour les diabétiques ou pré-diabétiques, cela signifie moins de chance de gain de poids et de graisse corporelle en excès. Le cumin a été prouvé travailler aussi bien que certains médicaments courants contre le diabète, en régulant l'insuline et le glycogène. Le cumin est également une très bonne source de fer, de vitamine C et de vitamine A, et bénéfique pour le système immunitaire.

 

Le cumin convient très bien dans du chili !

Source: http://www.toutsurlesabdos.com/top-10-des-epices.html

 




Paprika

Le paprika est issu de la même plante que le piment. Découvert au Mexique par les hommes de Christophe Colomb, il fut rapporté en Espagne. Réduit en poudre, il est devenu un classique de la cuisine espagnole.

Doux, moyennement fort, fort ou fumé, le paprika existe en plusieurs saveurs différentes. Faites toutefois preuve de prudence lorsque vous en achetez du fumé, certains distributeurs d’épices se contentant d’ajouter de la fumée liquide et du MSG à du paprika doux.

Comme le chili, il est riche en antioxydants, notamment en bêta-carotène, capsanthine, quercétine et lutéoline.

Pour préparer un assaisonnement à base d’épices, mélangez:
2 c. à thé de paprika
¼ c. à thé de poivre noir écrasé
2 c. à thé d’origan séché

Avant la cuisson, assaisonnez le poisson ou l’agneau avec ce mélange en frottant la chair pour le faire pénétrer.

Curcuma

L’Inde a l’un des taux de cancer de l’intestin les plus bas au monde, ce qu’on attribue en partie au curcuma. Au cours des dernières années, le nombre d’études qu’on a menées sur la curcumine, antioxydant présent dans cette épice, s’est multiplié. On a montré qu’elle exerçait une action anti-inflammatoire, antivirale, antibactérienne, antifongique et anticancéreuse.

Le curcuma fait partie des plantes auxquelles ont recours les médecines traditionnelles de l’Inde, de la Thaïlande et de la Chine pour soigner une multitude de problèmes de santé. Chose certaine, il mérite d’être utilisé en cuisine pour sa richesse en antioxydants.

Pour en augmenter votre consommation, ajoutez-en au riz, à raison de 1/2 c. à thé de poudre pour 1 tasse de riz et 1 1/2 tasse d’eau. Portez à ébullition et laissez mijoter jusqu’à
complète évaporation de l’eau.

Chile et piment de Cayenne

Dans l’histoire de l’herboristerie, le chile est associé à certains traitements pour le moins héroïques: durant les années 1800, on en prenait des doses massives pour réchauffer le corps et le purger de la maladie. De nos jours, on privilégie une approche moins brutale: on s’en tient généralement à des quantités beaucoup plus faibles auxquelles on a recours pour améliorer la circulation et évacuer le mucus, ainsi que le phlegme, des sinus et des voies nasales.

La capsicine est la substance qui confère leur piquant au chile et aux autres piments et dont les effets potentiels sur la santé, notamment une possible action anticancéreuse, font présentement l’objet d’études. Le piment de Cayenne est composé de diverses variétés que l’on mélange dans le but d’obtenir une force uniforme.

Utilisez-le avec parcimonie dans la soupe ou les burgers. Vous pouvez aussi en saupoudrer une pincée sur le riz ou les œufs pochés.

Le piment de Cayenne – Cette épice forte réchauffe non seulement vos plats et votre corps mais aussi augmente votre métabolisme tout en vous aidant à brûler les graisses plus rapidement. Une étude de recherche intéressante a montré que lorsqu’une personne consommait un apéritif avec des piments rouges, elle mangeait 15% moins de nourriture. Et pour ceux d'entre vous qui bannissent le piment de Cayenne parce que vous pensez que cela dérange votre estomac sachez qu’il aide effectivement la guérison du tissu digestif, il stimule les enzymes digestives et aide à prévenir les ulcères de l'estomac.

Le piment de Cayenne réduit le cholestérol sanguin LDL, les triglycérides et diminue la formation de caillots sanguins nuisibles, tout cela pour prévenir des crises cardiaques et accidents vasculaires cérébraux. C’est également un remède très efficace anti-inflammatoire, contre les maux de tête, l'arthrite et les douleurs musculaires, ainsi que pour la congestion nasale et le renforcement du système immunitaire.

 Essayez du piment de Cayenne dans vos œufs le matin, vos soupes, vos ragoûts, votre chili, ou bien sur de la viande pour stimuler le métabolisme !

Source:  http://www.toutsurlesabdos.com/top-10-des-epices.html



Anis

Dans l’antiquité romaine, les festins se terminaient généralement par des gâteaux aromatisés à l’anis et destinés à calmer la digestion et à rafraîchir l’haleine. Dans les années 1930, Margaret Grieve écrivait dans A Modern Herbal, ouvrage qui a joui d’une réputation considérable, que «les propriétés stimulantes et carminatives de l’anis en faisaient un allié efficace pour le traitement des flatulences et de la colique».

Tout comme le gingembre, l’anis a de nombreux emplois. On s’en sert toujours comme digestif aromatique, catégorie de remède ayant pour effet de soulager les troubles digestifs, la nausée, les gaz et les ballonnements. On peut également s’en servir comme expectorant pour le traitement de la toux et du rhume.

On peut en aromatiser les soupes de légumineuses; ajoutez-le au moment de faire sauter l’oignon et l’ail. Vous pouvez également en préparer une infusion en versant de l’eau bouillante sur les graines grossièrement écrasées. Prenez une tasse après le souper ou chaque fois que vous souffrez de ballonnements ou des gaz.

Gingembre

Dans la médecine populaire, le gingembre a de nombreux usages : on s’en sert pour combattre la nausée et les autres troubles digestifs, de même que pour soigner la toux et le rhume.

Dès les premiers signes d’un rhume:
• Émincez finement un morceau de rhizome d’environ 1 cm.
• Mettez le gingembre dans une tasse ou une petite théière et couvrez-le d’eau bouillante.
• Laissez infuser cinq minutes avant de boire. Si désiré, ajoutez du jus de citron et du miel.

La poire réduit le risque de diabète

Selon les résultats d’une étude publiée l’an dernier dans The American Journal of Clinical Nutrition et menée auprès de plus de 200 000 Américains, une consommation plus élevée de fruits riches en anthocyanines – particulièrement la poire, la pomme et le bleuet – est associée à un risque plus faible de souffrir du diabète de type 2. Comme l’indice glycémique de la poire est faible, ce fruit contribue à stabiliser la glycémie. (Inutile de la peler, nombre de ses nutriments se trouvant dans sa peau.)

La poire réduit le risque de cancer

La poire est riche en fibres, qui contribuent à lier une bonne partie des acides biliaires secondaires. En excès, ces composés présents dans les intestins peuvent accroître le risque de souffrir du cancer colorectal et de divers autres problèmes intestinaux. De plus, la poire, de même que certains autres fruits, pourrait réduire le risque de souffrir du cancer de l’estomac.

La poire réduit le risque d'AVC

Les fibres ne font pas qu’assurer la régularité intestinale. Les résultats d’une étude publiée dans Stroke, le journal de l’American Heart Association, indiquent que le risque de subir un premier AVC diminue de 7% par tranche additionnelle de 7 g de fibres. Une grosse poire en renferme 6 g et, du fait de sa taille, une poire asiatique en fournit 10 g.

La poire contribue à renforcer les os

La poire est une bonne source de bore, oligo-élément qui favorise le métabolisme du calcium par l’organisme et est donc essentiel au développement et à l’entretien des os.

La poire combat les radicaux libres

La poire est une bonne source de vitamine C, antioxydant qui protège les cellules contre les dommages causés par les radicaux libres. On ne s’étonnera donc pas que dans L’Odyssée, Homère l’ait qualifiée de « cadeau des dieux »

Le cholestérol est une substance vitale pour vos cellules

L'arnaque du cholestérol

Les statines sont l'exemple type de la pilule chimique « miracle », présentée au public comme efficace contre les maladies du cœur, alors qu'il n'a jamais été prouvé qu'elles diminuent le risque de mortalité.

Bien au contraire : les recherches (honnêtes) montrent que les statines diminuent les facteurs d'énergie musculaire, (1) à commencer par celle du myocarde (muscle du cœur), le comble pour un médicament donné aux personnes qui ont le cœur fragilisé par un infarctus !!

De plus, selon le spécialiste français du sujet, Michel de Lorgeril, cardiologue et chercheur au CNRS :

Enfin, selon une étude effectuée sur un panel de 650 patients sous statines, 87 % des patients ont consulté leur médecin suite à des effets secondaires, tels que des douleurs musculaires (3).

Le médicament idéal... pour la pharma-industrie

Un des avantages énormes des statines, en revanche, c'est qu'il faut en prendre à vie. Cela en fait un des médicaments les plus rentables pour l'industrie pharmaceutique. En France, huit millions de personnes innocentes ont été mises sous statines, ce qui rapporte un milliard d'euros par an à l'industrie.

Quant à la baisse du taux de cholestérol, bien réelle après avoir avalé une pilule de statines, on s'aperçoit aujourd'hui qu'elle n'entraîne nullement la baisse du risque d'infarctus ni d'attaque cérébrale. (4)

C'est que le cholestérol ne bouche pas à lui seul les artères, comme des chercheurs en ont fait l'hypothèse dans les années soixante ; aujourd'hui, on sait que vous pouvez parfaitement avoir un taux élevé de cholestérol et vous porter comme un charme.

Par contre, les personnes qui ont un faible taux de cholestérol ont un risque de dépression et de mortalité plus élevé que les autres. Et la raison est simple :

 

Le cholestérol est une substance vitale pour vos cellules

Le cholestérol n'est pas un poison : c'est une substance vitale essentielle pour la paroi de vos cellules, pour votre production d'hormones (avec un effet anti-vieillissement), et pour votre cerveau - d'où le risque de dépression chez les personnes qui manquent de cholestérol, et même de malformation et de handicap mental en cas de déficit grave (SLO syndrome).

Cependant, depuis les années soixante, la majorité des médecins ont cru que, malgré tous ses bienfaits pour le corps et l'esprit, le cholestérol posait aussi un danger pour les artères.

Ils avaient en effet imaginé que, tel le calcaire se déposant sur votre robinetterie, le cholestérol pouvait se déposer le long des artères jusqu'à les boucher et déclencher une embolie (blocage de la circulation sanguine).

C'était, dans leur imagination, la cause de l'infarctus si l'embolie avait lieu dans la région du cœur, ou d'un accident vasculaire cérébral (AVC) si elle avait lieu dans le cerveau.

En réalité, 75 % des gens ayant des crises cardiaques ont un taux de cholestérol normal. (5)

Lors d'un récent colloque de la British Medical Association, le Dr Malcom Kendrick a montré qu'un taux de cholestérol élevé n'entraîne pas de maladie cardiaque. En utilisant les données du projet MONICA de l'Organisation Mondiale de la Santé dans quinze populations, il a montré l'absence de relation entre le risque de maladies cardiaques et le taux de cholestérol.

Vos artères sont attaquées par des « molécules carnivores »

Ce que pensent aujourd'hui les chercheurs les plus en pointe, c'est que l'apparition de la plaque artérielle est une réaction d'auto-défense de votre corps, face à des dommages causés dans vos artères par des substances oxydantes et inflammatoires.

La paroi intérieure de vos artères est normalement protégée par une fine pellicule qui permet au sang de couler sans s'accrocher, exactement comme de l'eau sur les feuilles des arbres : des gouttelettes peuvent se former à la surface, mais elles finissent par ruisseler, sans laisser de trace.

Le problème apparaît lorsque votre sang contient des « molécules carnivores », qui griffent la paroi de vos artères et y font des trous.

Ces molécules carnivores sont appelées les « radicaux libres ». Elles proviennent de l'environnement (gaz d'échappement, fumée de cigarette, polluants), de la mauvaise alimentation, et des déchets naturels dus à la production d'énergie par vos cellules. Ces radicaux libres rongent les parois de vos artères comme l'oxygène rouille une barre de fer humide.

Heureusement, au lieu de se laisser attaquer sans rien faire, votre corps réagit en réparant les fissures dans la paroi de vos artères grâce à un ciment spécial et plus efficace que l'enduit de rebouchage vendu chez Leroy-Merlin : le cholestérol, mélangé à du calcium et d'autres substances.

Vous comprenez donc que, au départ, cette réaction de votre corps est non seulement souhaitable, mais même indispensable à votre survie !

Un problème de santé n'apparaît que si vous laissez ces « molécules carnivores » se multiplier et attaquer la paroi de vos artères encore et encore. En effet, votre corps va rajouter des couches de ciment jusqu'à ce que se forme une couche problématique, la plaque artérielle (ou plaque athéromateuse, dans le vocabulaire médical).

Comment lutter contre ces molécules carnivores (radicaux libres) ? Comment empêcher ces substances agressives d'apparaître, et les éliminer si elles tentent une offensive ?

Les molécules qui détruisent les radicaux libres

Il existe dans la nature des substances miracles qui protègent votre organisme contre les radicaux libres : ce sont les anti-oxydants.

Les anti-oxydants sont des composés chimiques qui ont cette capacité remarquable de détruire les radicaux libres, dès qu'ils sont mis en contact : ils transforment ces molécules carnivores, qui attaquaient la paroi de vos artères, en des corps inoffensifs et doux comme des moutons, qui glissent dans le flux sanguin sans plus chercher à griffer ni à faire des trous.

Comment maximiser vos apports d'anti-oxydants ? C'est très simple :

Fruits et légumes frais sont bourrés d'anti-oxydants, surtout lorsqu'ils sont colorés en vert (épinards, blettes, petits pois), en rouge (poivrons, tomates, cerises, groseilles), en bleu (myrtilles, mûres, cassis, aubergine avec la peau), mais on en trouve aussi énormément dans le pamplemousse, le raisin et le vin. Ces anti-oxydants qui parfument et colorent les végétaux s'appellent des « polyphénols ».

La meilleure façon d'avoir votre dose quotidienne d'anti-oxydants est de manger beaucoup de fruits et légumes mûrs et frais, de saison, et si possible au plus proche de leur forme naturelle, c'est-à-dire peu ou pas cuits ni transformés.

Préférez les fruits et légumes biologiques, cultivés près de chez vous : moins ils auront été transportés et stockés dans des frigos, plus ils seront riches en anti-oxydants.

Bien entendu, il n'est pas toujours possible, tous les jours, de manger autant de fruits et légumes frais que nécessaire et c'est pourquoi beaucoup d'entre nous prenons des anti-oxydants sous forme de jus spéciaux (comme le jus de grenade par exemple) ou de compléments alimentaires, dont les plus répandus sont la vitamine E et la vitamine C.

Boostez l'effet de vos anti-oxydants

Ce que peu de gens savent, en revanche, c'est qu'il est absolument crucial de consommer ces anti-oxydants sous leur forme « réduite », par opposition à leur forme « oxydée ». Vous vous en apercevez à leur aspect :la vitamine C « réduite » se présente sous la forme d'une poudre blanche. Si elle est oxydée, elle devient brune. Le jus de grenade, pourtant extrêmement riche en anti-oxydants, perd ses vertus lorsqu'il est exposé à l'air parce qu'il s'oxyde.

De même, à l'intérieur de votre corps, dès que vos anti-oxydants agissent pour détruire des radicaux libres, ils sont à leur tour oxydés, et ne peuvent plus avoir d'effet.

Pour qu'ils soient à nouveau efficaces, votre corps doit régénérer ces anti-oxydants, et il ne peut le faire que s'il contient des enzymes recycleurs. Et parmi, tous ces enzymes, le plus important est très probablement un enzyme au nom barbare, fabriqué par votre foie : le co-enzyme Q10, ou CoQ10.

Le plus puissant anti-oxydant fabriqué naturellement par votre organisme !

Il se trouve que le CoQ10 est capable de renouveler et renforcer l'action des autres anti-oxydants comme la vitamine C, les tocotriénols (vitamine E) et les caroténoïdes comme l'astaxanthine, en les régénérant chaque fois qu'ils se font oxyder.

C'est déjà un petit miracle en soi ; mais les vertus pour la santé du CoQ10 ne s'arrêtent pas là :
En lui-même, le CoQ10 est une des plus puissantes substances anti-oxydantes qui existe dans notre corps.

De plus, le CoQ10 est aussi, littéralement, « l'étincelle de la vie », car il intervient directement dans le cycle de la production d'énergie cellulaire, au niveau de mini-centrales énergétiques appelées « mitochondries » qui se trouvent dans vos muscles et qui leur permettent de se contracter.

C'est donc une substance extraordinaire pour les personnes qui vieillissent et ont l'impression de perdre de l'énergie.

Le CoQ10 possède en effet la propriété remarquable d'aider les mitochondries à convertir les graisses et les sucres en adénosine triphosphate (ATP), principale source d'énergie des muscles, et en particulier du myocarde (muscle du cœur).

A noter que les bienfaits du CoQ10 ne se limitent pas au cœur, loin de là : il est présent dans tout l'organisme, notamment dans les muqueuses des gencives et de l’estomac, dans les tissus de tous les organes qui jouent un rôle dans le système immunitaire, dans le foie, les reins et la prostate. D'où son autre nom d’« ubiquinone » (qui a la même étymologie que le mot « ubiquité », qui veut dire « omniprésence »).

Le CoQ10 a fait l'objet d'un millier de publications scientifiques, de 15 conférences internationales, sans compter plus de 39 essais contrôlés par placebo au Japon, au US, en Italie, en Allemagne et en Suède.

Ce sont les Japonais qui en ont découvert ses propriétés au début des années 1960. Il est prescrit au Japon depuis 1974, et des millions de patients en prennent quotidiennement. Mais la plupart des médecins occidentaux continuent à ignorer superbement le CoQ10, allez savoir pourquoi.

Peut-être parce que c'est une molécule naturelle, donc non brevetable, et qui n'intéresse donc pas l'industrie pharmaceutique ?

Le niveau de CoQ10 baisse fortement avec l'âge

Quand vous êtes jeune, en bonne santé et plein de vie, votre foie fabrique suffisamment de CoQ10 pour fournir la puissance nécessaire à votre cœur, vos poumons, vos muscles, et pour contrer les radicaux libres. L'énergie et la protection de vos organes vitaux (cœur et cerveau), de votre peau, de vos cheveux et de vos yeux est assurée.

Le problème survient quand le vieillissement, la mauvaise santé, la prise de médicaments et une mauvaise alimentation diminuent la production naturelle de CoQ10 dans votre corps. A votre 50e anniversaire, vous produisez 25 % de CoQ10 en moins qu'à 20 ans, ce qui peut expliquer pour une grande partie les symptômes du vieillissement (à 80 ans, la diminution peut atteindre 65 %).

Sans CoQ10, votre corps ne parvient plus à régénérer vos anti-oxydants (vitamine E et C, ainsi que les polyphénols). De plus, la production d'énergie cellulaire est fortement entravée.

Pour toutes ces raisons, il peut être nécessaire de prendre du CoQ10 sous forme de compléments alimentaires. Mais cela est plus vrai encore pour les personnes qui prennent des statines :

Le CoQ10 s'oppose aux effets secondaires des statines

En 1990, des chercheurs de Merck, un géant pharmaceutique, s'aperçoivent qu'il suffit d'ajouter à leurs statines une substance naturelle, le CoQ10, pour lutter contre les effets secondaires des statines.

La découverte fut faite, soigneusement brevetée, puis... enterrée.

Il pourrait s'agir d'un des plus grands scandales de l'histoire de la pharmacie moderne.

En effet, les statines font baisser le niveau de cholestérol en bloquant sa production dans la voie métabolique du mévalonate, qui est précisément la voie où est également produit... le CoQ10 !!

La prise régulière de statines bloque donc la production de CoQ10 en même temps qu'elle bloque la production de cholestérol ! (6) Cela aboutit à une baisse du niveau de CoQ10 dans les mitochondries, et donc à une baisse de la production d'énergie cellulaire, avec des effets évidents sur les muscles, à commencer par le cœur — et une plus grande vulnérabilité aux radicaux libres.

Prendre du CoQ10 pourrait donc être crucial pour les personnes sous statines, à tel point que des médecins aux Etats-Unis militent depuis 10 ans pour que la prise de CoQ10 devienne obligatoire avec les statines ! (7)

Comment faire le PLEIN d'énergie cellulaire

Je vous ai dit plus haut que la CoQ10 aide vos mitochondries à convertir les graisses et les sucres en adénosine triphosphate (ATP), la principale source d'énergie de notre corps.

Mais savez-vous quelle quantité d'ATP votre organisme produit, chaque jour ?
L'équivalent de votre poids corporel.

Ainsi, si vous faites 65 kg, vos mitochondries doivent fabriquer 65 kg d'ATP par jour, et votre CoQ10 est donc mobilisé en permanence à cette tâche exténuante. Tous vos muscles ont une soif inextinguible de CoQ10, en particulier votre muscle cardiaque car son métabolisme est le plus actif de tous les tissus.
Il est donc choquant que la « solution » proposée par la médecine traditionnelle pour guérir des maladies cardiaques soit de prendre des hypocholestérolémiants, qui font baisser le taux de CoQ10, ce qui peut effectivement épuiser votre corps.

En fait, des niveaux faibles de CoQ10 dans les tissus et le sang ont été signalés dans un large éventail de problèmes cardio-vasculaires, par une étude indiquant que plus grande est la déficience, plus sévères sont les symptômes.

A l'inverse, plusieurs études prouvent que des personnes avec des niveaux élevés de CoQ10 favorisent leurs tissus musculaires, leurs mitochondries et même leur sang, le CoQ10 intervenant dans le fonctionnement des globules rouges (hématies). Ce qui peut provoquer d'étonnants retournements du destin :

Sauvé de la mort de justesse

Le Professeur Folkers – le scientifique, qui a décrit la structure chimique précise du CoQ10 en 1958 – a dirigé la première étude contrôlée par placebo avec le Dr Per H. Langsjoen (entre 1983-1985), spécialiste du CoQ10 et des effets secondaires des statines.

Leur étude, publiée dans la prestigieuse revue Proceedings of the National Academy of Sciences, rapporte que 19 patients qui devaient mourir ont connu une « amélioration clinique extraordinaire » grâce à des niveaux accrus de CoQ10 !

Cinq études contrôlées par placebo, de 1984 à 1991, montrent que l'augmentation du taux de CoQ10 apporte une amélioration rapide et nette des douleurs à la poitrine, et accroît la capacité d'exercice physique. L'une de ces études montre que la durée de l'exercice est directement relative au niveau de CoQ10.

Récupération jusqu'à 90 % plus rapide en cas d'intervention chirurgicale !

De plus, dans une étude spectaculaire publiée en 1983 dans le Journal of Clinical Investigation, des patients cardiaques ont pris soit un placebo soit du CoQ10 pendant 14 jours avant la chirurgie et 30 jours après.

Dans le groupe ayant pris du CoQ10, non seulement la circulation sanguine, l'ATP et les fonctions cardiaques se sont améliorées avant l'intervention chirurgicale, mais leur récupération a été...

COURTE (3 à 5 jours) et SIMPLE.



Alors que les patients qui ont reçu le placebo avaient une récupération...

LONGUE (15 à 30 jours) et COMPLIQUÉE.

 

Le CoQ10 n'a aucun effet indésirable

Le Dr Peter Langsjoen a analysé 34 études contrôlées par placebo, portant sur 2 152 patients souffrant de problèmes cardio-vasculaires. Il déclare qu'il n'y a aucune toxicité et aucune interaction médicamenteuse. Il dit aussi que le CoQ10 est « entièrement sûr, sans aucune toxicité, selon plus de 1000 études publiées ».

Mais pour être très précis, mon avis est que cela dépend du type de CoQ10 que vous choisissez :

Vous trouvez sur le marché, trois formes de CoQ10 : la synthétique, la semi-synthétique, et les molécules naturelles d'extraction.

D'un point de vue moléculaire, les trois formes se ressemblent beaucoup, mais les deux premières formes sont moins propres, car elles contiennent plus d'impuretés liées aux molécules.

D'autre part, si vous enquêtez sur les prix, vous vous apercevrez que vous pouvez trouver des niveaux très variables. Cela s'explique, outre la politique de marge du fournisseur, par l'origine du CoQ10 qu'ils vendent.

A 15 euros la boîte de 60 gélules, il s'agit très probablement de CoQ10 d'origine chinoise. Il n'est pas forcément mauvais en soi, mais vous avez plus de risque qu'il contienne des impuretés et, potentiellement, des polluants.

A 25 ou 30 euros la boîte de 60 gélules, ce sera du CoQ10 d'origine indienne. C'est déjà moins risqué, et tous les lots ne sont pas forcément contaminés, loin de là.

Mais s'il s'agit du corps de mes enfants, de celui de personnes de ma famille, ou du mien, je préfère payer plus cher et avoir du CoQ10 d'origine des USA ou du Japon, et sous la forme de molécules naturelles d'extraction (la troisième forme citée ci-dessus). Cela coûte plus cher, évidemment (40 à 60 euros la boîte).

Encore plus cher, il y a l'ubiquinol, qui est la forme réduite du CoQ10 (ubiquinone). Mais il s'agit en fait d'une astuce marketing pour des résultats quasi-identiques, qui ne justifient pas à mon avis la différence de prix. Le seul cas où cela se justifierait serait pour des personnes de 90 ans ou plus, qui ont un système enzymatique très affaibli.

Comment prendre votre CoQ10

Pour nous résumer, je considère que la prise de CoQ10 peut faire une différence cruciale pour les personnes qui prennent des statines, mais aussi pour toutes celles qui se préoccupent du vieillissement de leur cœur et de leurs artères.

Aucune autre substance n'alimente vos cellules et ne capture les radicaux libres dès leur apparition — à l'intérieur de la cellule elle-même — tout en travaillant avec d'autres anti-oxydants pour traquer les inflammations dans tout votre organisme.

Concernant les doses, il est recommandé d'en parler d'abord avec votre thérapeute, mais, d’une indication à l’autre, il est globalement conseillé de prendre 2 fois 50 mg par jour.

Il vaut mieux prendre les gélules de co-enzyme Q10 au cours d'un repas contenant des lipides, le CoQ10 étant mieux absorbé en présence d’huile ou de graisse.

Précautions à prendre

Attention, le CoQ10 est tout sauf un produit à « effet placebo », comme voudraient le faire croire certains. C'est un complément alimentaire qui a réellement un effet, et la preuve en est qu'il est nécessaire d'abord de consulter votre médecin avant de l'introduire dans votre régime. Il vous indiquera notamment que :

  • Du fait de la ressemblance de structure entre le CoQ10 et la vitamine K, la complémentation ne doit pas être concomitante avec la prise de warfarine (Coumadine®, anti-vitamine K) ;
  • Le CoQ10 doit être évité chez l'insuffisant hépatique ou la personne porteuse d’une obstruction des voies biliaires, et chez le diabétique lors de la prescription concomitante de médicaments hypoglycémiants.
  • A noter également qu'en cas de complémentation en vitamine E à des taux élevés, l’augmentation  du taux de CoQ10 sera plus lente du fait de la participation de celui-ci à la régénération de la  vitamine E quand elle vient d’être oxydée.

Je ne sais pas ce que je peux faire de plus pour vous encourager à prendre en charge votre santé cardiaque et préserver vos cellules et votre niveau d'énergie. Il me semble qu'il y a là une voie phénoménale à explorer, le CoQ10 ayant été désigné comme une des « stars anti-âge » par le magazine Alternatif Bien-Être (n°66).

Référence:  http://www.santenatureinnovation.com/

10 Aliments pour combattre le cancer du sein

Votre alimentation peut à elle seule réduire vos risques de développer un cancer du sein. Découvrez les aliments que vous devriez consommer régulièrement pour le combattre et rester en bonne santé.

Des aliments anti-cancer

De nombreuses recherches démontrent que de saines habitudes alimentaires peuvent faire une différence significative dans les 23 000 nouveaux cas de cancer du sein au Canada chaque année. La preuve: selon une étude publiée dans le British Journal of Cancer en 2011, les femmes qui consomment le plus de fruits et de légumes sont moins à risque de développer un cancer du sein que celles qui en consomment moins.

 
Voici quelques-uns des aliments les plus puissants contre le cancer du sein.

 

1. Champignons

Selon une étude publiée dans Nutrition and Cancer en 2010, une grande consommation de champignons est associée à un risque inférieur de cancer du sein chez les femmes ménopausées. Les champignons cremini, pleurotes et shiitake, contiennent des antioxydants tels que la L-ergothionéine qui protège contre le cancer.

Essayez ceci: Ajoutez des champignons tranchés aux œufs brouillés, omelettes, ragoûts, sautés et viandes hachées pour les hamburgers et les pains de viande.

 

2. Pousses de brocoli

Selon les scientifiques de l'Université de Michigan, ces pousses sont riches en sulforaphane, un antioxydant qui peut cibler et détruire les cellules qui font croître les tumeurs.

Essayez ceci: Ajoutez-les aux sandwichs, aux salades, aux soupes et à votre pesto maison.

 

3. Grenades

D'après les scientifiques américains de la City of Hope's Beckman Research Institute, les graines croquantes de la grenade (aussi appelées arilles) sont riches en acide ellagique, un antioxydant puissant qui peut inhiber une enzyme jouant un rôle dans le développement du cancer du sein. Les grenades, une riche source d'antioxydants, pourraient également améliorer la santé cardiaque.

Vous pouvez obtenir les mêmes antioxydants du jus de grenade pur, mais n’en buvez qu'une seule tasse (250 ml) par jour pour ne pas avaler trop de sucre, ou consommez la moitié d'un fruit.

Essayez ceci: Garnissez le fromage cottage, les salades, le gruau et le riz pilaf de graines de grenades. Ajoutez aussi le jus aux smoothies et au thé glacé.

 

4. Lentilles

Une étude parue dans The American Journal of Clinical Nutrition en 2009 a analysé les habitudes alimentaires de plus de 3500 femmes américaines d'origine asiatique. Les chercheurs ont constaté qu'un apport plus élevé en légumineuses dont les lentilles et les haricots étaient associées à un risque plus faible du cancer du sein. Les lentilles (peu dispendieuses) débordent d'acide folique, de fibres et d’une foule d'autres nutriments qui peuvent faire fuir le cancer.

Essayez ceci: Consommez les hamburgers et les tacos aux lentilles. Préparez des pâtes de grains entiers avec des lentilles, des tomates séchées, du chou haché et du fromage fêta en dés.

 

5. Noix

Des recherches préliminaires suggèrent que grignoter deux onces (60 g) de noix par jour pourrait freiner le développement de tumeurs cancéreuses du sein. Des chercheurs de la Marshall University School of Medicine en Virgine de l'Ouest supposent que les antioxydants, oméga-3 et phytostérols des noix peuvent aider à ralentir la croissance des cellules cancéreuses.

Essayez ceci: Ajoutez des noix à vos recettes de brownies et de muffins. Ou faites-les griller dans une poêle et ajoutez-les aux salades, pizza et céréales cuites comme le quinoa.

 

6. Bleuets

La recherche suggère que la ptérostilbène, un phytonutriment dans les bleuets, peut arrêter la croissance des tumeurs cancéreuses en les amenant à s’auto-détruire. Ce processus  est aussi appelé apoptose. Les bleuets sauvages surgelés sont tout aussi antioxydants et bourrés de nutriments.

Essayez ceci: Ajoutez les bleuets aux smoothies, au gruau, au yogourt et à la pâte à crêpes.

 

7. Épinards

Les femmes pré-ménopausées qui consomment une quantité élevée de folate (les épinards en sont une bonne source) ont 40% moins de risques d'avoir le cancer du sein, selon une étude publiée dans l'American Journal of Epidemiology en 2011. La vitamine B est nécessaire pour la division cellulaire appropriée et fait obstacle aux modifications de l'ADN qui peuvent conduire au cancer du sein.

Essayez ceci: Utilisez les épinards pour relever sautés, quiches, plats de pâtes, œufs brouillés et smoothies.

 

8. Œufs

La choline, un nutriment essentiel très présent dans les œufs, réduit de 24% les risques de cancers du sein, selon une étude américaine menée auprès de plus de 3000 femmes. Ce nutriment essentiel trouvé dans le jaune de l'œuf est nécessaire pour assurer le bon fonctionnement cellulaire. L'Institute of Medicine des États-Unis affirme que les femmes devraient en consommer 425 milligrammes par jour; un gros œuf en contient 126 milligrammes. Le poisson, la volaille, le porc, le boeuf, le brocoli et le germe de blé sont d'autres sources de choline.

Essayez ceci: Gardez des œufs durs dans le réfrigérateur du bureau et prenez-en comme collation de l'après-midi.

 

9. Saumon

Le saumon est l’un des rares aliments à contenir de la vitamine D en quantité importante. Des chercheurs de la Mount Sinai Hospital de Toronto ont établi qu'un apport accru de la vitamine soleil réduit de 24% le risque de développer un cancer du sein. La vitamine D peut empêcher les cellules de devenir cancéreuses. Aussi, manger du saumon frais ou en conserve fournit de l'acide docosahexaénoïque (DHA), un acide gras oméga-3 puissant qui peut tuer les cellules cancéreuses du sein et qui aide à arrêter la propagation de la maladie vers d'autres parties du corps.

Essayez ceci: Ajoutez du saumon en conserve dans les salades ou remplacez-le au lieu du bœuf dans les burgers et le pain de viande.

 

10. Pain de seigle

Après avoir examiné les recherches publiées, des scientifiques finlandais ont déterminé que la consommation de grains entiers de seigle peut diminuer le risque de cancer du sein. Une
synergie entre les fibres, les lignanes, les vitamines, les minéraux et l'acide phytique font du pain de seigle un aliment de choix pour combattre le cancer du sein. Lors de l'achat, vérifiez la liste des ingrédients sur l’étiquette pour vous assurer que le premier élément est la farine de seigle entier et non la farine de blé.

Essayez ceci: Pour un déjeuner satisfaisant, grillez une tranche de pain de seigle et ajoutez-y un œuf poché, de l'avocat et quelques tranches de tomates.

http://www.plaisirsante.ca/ma-sante/sante/10-aliments-pour-combattre-le-cancer-du-sein?utm_campaign=20131001_ps_monassiette_news&utm_medium=email&utm_source=Newsletter-ps_monassiette&utm_content=&utm_term=



Les signes et symptômes du cancer du sein

En vue de dépister rapidement la présence d’un cancer du sein, soyez à l’affût des signes ou symptômes suivants :

    douleur ou sensibilité affectant un sein;
    nodule ou bosse détectable au toucher;
    rétraction de la peau d’un sein ou d’un mamelon;
    écoulement d’un mamelon;
    rougeur, enflure ou chaleur au niveau d’un sein;
    modification de la taille ou de la forme d’un sein;
    gonflement des ganglions sous les aisselles.

Il importe de préciser que la maladie peut être présente sans qu’aucun de ces signes ou symptômes ne se manifeste.

http://www.jeancoutu.com/sante/conseils-sante/reconnaitre-les-signes-du-cancer-du-sein/?utm_medium=email&utm_source=infolettre&utm_content=lien-article3&utm_campaign=3oct2013

« La mort commence dans le côlon »

Un tube digestif mal entretenu, peuplé de bactéries et de champignons opportunistes et pathogènes (en particulier Candida albicans) et pollué par des aliments mal digérés risque de se retrouver encombré par des matières fécales nauséabondes et toxiques. Ce phénomène est facteur de déséquilibres et de troubles de gravité variable.


En particulier, vous pouvez souffrir de constipation rebelles, de ballonnements, de diarrhées, d'inflammations diverses, d’altération de la peau, d'instabilité d'humeur ou de maladies plus graves, comme une colopathie fonctionnelle, une diarrhée sanglante ou un cancer du côlon.

Lors d'une autopsie, il n'est pas rare de constater que le côlon de la personne décédée est fortement encombré par des excréments. C'est l'origine de l'adage : « la mort commence dans le côlon ».

Un intestin malpropre, c'est le risque d'une immunité déficiente. Vous souffrez alors d'une vulnérabilité plus grande aux maladies infectieuses et inflammatoires touchant les sphères digestives, respiratoires, urogénitales, etc.

De plus, un côlon « malade » est aussi un facteur déclenchant de troubles émotionnels : peu de gens, et même de médecins, le savent, mais ce sont les cellules de l'intestin qui produisent 80 % de la sérotonine qui se trouve dans notre corps (la sérotonine est l'hormone de la bonne humeur).

D'une certaine façon, votre intestin est votre « deuxième cerveau ». Vous devez donc en prendre le plus grand soin.

Entretenir votre tube digestif

Vous trouverez partout sur Internet des offres plus ou moins honnêtes pour des produits visant à nettoyer votre tube digestif. Mais votre intestin n'est ni une cheminée qu'on ramone, ni une tuyauterie qu'on débouche avec du « Déstop ». C'est en fait, à la fois plus subtil, mais aussi beaucoup plus simple.

Normalement, vous ne devriez rien avoir à faire. Dame Nature a tout prévu : une armée de milliers de milliards de microorganismes qui peuplent votre côlon (la dernière partie de l'intestin, juste avant le rectum) et qui, nuit et jour, le protègent, le nettoient, et empêchent les bactéries et levures nuisibles de se développer, en occupant la place.

Ces microbes sont en très grand nombre, c’est-à-dire cent fois plus nombreux que les cellules de votre corps, soit 100 000 milliards (14 zéros !).

Cette armée immense s'appelle la « flore intestinale » ou le « microbiote ».

Le mot « flore » peut surprendre pour un endroit pareil, mais c'est une référence au grand nombre d'espèces de bactéries et de levures (au moins 200 espèces) qui cohabitent, comme dans un jardin botanique. Cet ensemble nous est aussi personnel que nos empreintes digitales.

Il ne tient qu'à vous d'entretenir ce jardin, de le réensemencer régulièrement, d'éliminer les mauvaises herbes, de lui apporter de l'engrais... ou alors de le laisser à l'abandon. Dans ce second cas, le joli parc à l'anglaise peut vite se transformer en affreux dépotoir nauséabond, refuge d'espèces nuisibles qui déclenchent des maladies.

Les mauvaises odeurs ne sont pas normales

La principale fonction de votre côlon est de fermenter les aliments incomplètement digérés pour en extraire les derniers nutriments et les faire passer dans le sang. Lorsque votre côlon est sain et qu'il fonctionne bien, il ne laisse que des déchets inutilisables qui sont évacués régulièrement, et ne dégagent pas de mauvaise odeur.

Par contre, en présence de bactéries et de levures nuisibles, le transit est perturbé, entraînant constipation ou diarrhée et les résidus alimentaires deviennent malodorants. De plus, lorsqu’une mauvaise digestion s’installe, en plus d'être désagréable en soi, elle empêche votre corps d'extraire les nutriments de votre nourriture de façon optimale. Si vous ne faites rien, des déficits nutritionnels, voire des carences, peuvent s'installer.

Cette flore nuisible produit aussi du gaz carbonique, du méthane et de l'hydrogène en abondance. Tant et si bien que lorsque vous laissez la situation s'installer, ces germes vont proliférer jusqu'à provoquer des poches de gaz tout au long de votre côlon, jusqu’à ce que vous ayez l'impression qu’il va exploser. Les flatulences et les ballonnements n'ont rien de drôles. Ils indiquent que votre nourriture est mal digérée et que votre côlon a besoin d'aide. Ce cercle vicieux est déclenché par le manque de bonnes bactéries, favorables à la digestion.

Votre flore intestinale se détermine dès votre naissance

La composition de votre flore intestinale dépend avant tout de la façon dont se déroule votre naissance.

Quand vous étiez dans le ventre de votre mère, votre tube digestif était stérile. Il n'y avait dedans aucun microbe.

Ce n'est qu'au moment de l’accouchement que des bactéries et des levures s'y sont installées : 72 heures après votre naissance, votre tube digestif contenait déjà 1000 milliards de bactéries et levures !

Mais d’où proviennent ces bactéries et levures ? Très peu de gens le savent, là encore, mais elles viennent, pour les enfants nés par voie naturelle, de la flore vaginale de leur mère.

Or, cette flore vaginale est très dépendante de la flore intestinale et donc une femme qui aura une bonne flore intestinale dans les dernières semaines de sa grossesse donnera en héritage à son enfant les bonnes espèces microbiennes pour ensemencer son intestin. Si, par contre l'intestin de la mère est contaminé par des espèces opportunistes et pathogènes, son bébé en héritera aussi, malheureusement.

Ainsi constate-on que certaines prédispositions aux maladies sont liées à une microflore particulière transmise par les mères à leurs enfants au moment de la naissance. C’est en particulier le cas des lignées familiales d’asthmatiques et d’eczémateux. Si, au cours des derniers mois précédant l’accouchement, la mère régénère sa microflore (nous allons voir comment), son enfant ne sera pas porteur d’une microflore induisant de l’eczéma ou/et de l’asthme. Cette simple mesure permet donc de préserver le nouveau-né d’une déficience qui risque de l’handicaper toute sa vie avec la perspective de la terminer dans les souffrances d’une bronchite chronique, sous assistance respiratoire particulièrement invalidante.

Mais un autre cas très problématique est celui des enfants nés par césarienne.

Etant directement extraits du placenta (stérile), le bébé né par césarienne n'a aucun contact avec la flore de sa mère. Il reçoit alors la microflore de l'environnement, et donc de l'environnement hospitalier, souvent riche en bactéries résistantes aux antibiotiques, en particulier le tristement célèbre staphylocoque doré (Staphylococcus aureus).

Cette flore intestinale d'origine hospitalière peut avoir des conséquences douloureuses sur tout le reste de l'existence, si elle n'est pas corrigée à temps.

Donc pour les mamans qui sont forcées d’accoucher par césarienne, il est très important qu’elles ensemencent le tube digestif de leur bébé, dès la naissance, avec de bonnes bactéries. Avant de vous dire comment, permettez-moi de préciser que, même une bonne flore intestinale à la naissance peut se déséquilibrer par la suite :

Comment l'équilibre de votre microflore risque de se rompre

Après la naissance, l’équilibre de la microflore intestinale est en continuelle évolution. Il s’agit d’un équilibre dynamique qui peut être rompu par différents facteurs endogènes et exogènes :

  • facteurs endogènes ou causes intérieures à votre corps : il se peut que vous ayez un déficit immunitaire, ou une maladie métabolique discrète, qui entraîne une modification de votre flore intestinale. En cas de blessure ou d'opération chirurgicale, d'inflammation, de constipation chronique ou de tumeurs dans l'intestin, votre microflore peut également être gravement perturbée, ce qui empirera les symptômes de votre maladie, et retardera votre convalescence ;

  • facteurs exogènes ou les causes extérieures à votre corps : alimentation déséquilibrée, contamination par des métaux lourds, des pesticides utilisés en agriculture et des additifs alimentaires antimicrobiens, infection par des germes pathogènes, stress intense, traitement aux antibiotiques, vaccination, peuvent contribuer à inhiber vos bonnes bactéries, ce qui laissera la place aux germes opportunistes et pathogènes (responsables de maladies) de se multiplier.

Les conséquences sont de gravité variable : des simples troubles de la digestion jusqu'à la rupture complète des barrières de défense de l’organisme. Dans ce cas, vous risquez la prolifération de germes jusqu’à la septicémie (infection généralisée) et donc, potentiellement, la mort.

Cela montre qu’une flore intestinale équilibrée joue un rôle essentiel pour votre santé et votre résistance aux maladies. Tout doit être fait pour maintenir cette flore dans un bon état microbiologique.

Entretenir et améliorer sa flore intestinale

Parmi les bactéries de votre flore intestinale, certaines ont un effet positif pour votre santé, et pour la vie en général : c'est pourquoi les scientifiques les ont baptisées « probiotiques » (favorables à la vie). Elles stimulent le système immunitaire, réduisent les allergies, apaisent les inflammations de l'intestin. Elles empêchent la production de toxines susceptibles de surcharger le foie, améliorent le transit intestinal, réduisent les flatulences, préviennent les troubles du transit (constipation ou diarrhée). Pour mériter le nom de probiotique, il faut que cet effet soit scientifiquement démontré.

D'autres espèces sont opportunistes ou pathogènes : elles sont susceptibles de déclencher des problèmes de santé de tous ordres, dont les allergies, les mycoses et même certaines maladies.

Parmi les mycoses, la candidose provoquée par Candida albicans est redoutable car la prolifération de ce germe dans l’organisme provoque une altération de l’immunité qui ouvre la poste à d’autres affections dont le cancer.

Votre défi est le suivant : favoriser, par l'implantation de bonnes espèces et par des « engrais » adaptés, les bonnes bactéries. Empêcher les espèces pathogènes (causes d’affections) de se développer.

Alors voici les mesures que vous pouvez prendre et qui permettront de renforcer votre système immunitaire, accroître votre vitalité et améliorer votre bien-être.

Réduire votre consommation d'aliments concentrés

Les aliments concentrés tels que la viande, les fromages, certaines graisses (beurre, huile de tournesol, de maïs, de soja ou de carthame) et les sucres simples doivent être consommés avec modération car ils sont susceptibles de provoquer une rupture de l’équilibre de la microflore.

Or, depuis les années 1950, la consommation des aliments concentrés n’a pas cessé de croître avec le développement incessant de ce que l’on appelle les maladies de civilisation : troubles cardiovasculaires, digestifs, métaboliques, nerveux, ostéoarticulaires, etc.

Par exemple, la forte consommation de sucres simples : saccharose, fructose, maltose, lactose, glucose.

Tous les aliments sucrés ou qui se transforment rapidement en sucre simples (y compris les jus de fruit), favorisent la prolifération d’une flore fongique qui altère l’immunité, induit le risque de diabète, d’obésité, d’accidents cardiovasculaires et de tous types de cancers.

Cela peut sembler exagéré mais les médecins n'ont plus de doute aujourd'hui à ce sujet : la forte consommation de sucre produit de l’hyperglycémie, puis de l’hyperinsulinémie qui va stimuler la formation de la tumeur cancéreuse et accélérer la croissance des cellules tumorales.

Les Français consomment en moyenne 40 kg de sucre par an, soit environ 110 grammes par jour. Ce chiffre est dangereusement élevé. Il devrait être réduit au minimum des trois quarts, c'est-à-dire descendre en dessous de 10 kg par an. On peut en dire autant de la viande et des produits laitiers.

Alors priorité aux fruits, légumes et céréales complètes, baies, noix, poissons gras de haute mer riches en précieux nutriments (collagène, minéraux, vitamines liposolubles et acides gras omega-3 à longues chaînes). Un peu de viande, de produits laitiers (surtout au lait de chèvre et de brebis) et d’huiles végétales (préférence à l’huile d’olive, de noix, de colza) et très peu de sucreries.

Mangez plus de fibres, ce sont des « prébiotiques »

L'alimentation moderne, trop riche en produits concentrés (viande, fromage, graisses et sucreries), est pauvre en fibres. Si les fibres alimentaires ne sont pas des nutriments essentiels à notre organisme, elles sont indispensables à l’entretien de notre flore intestinale qui s'en nourrit et les transforme en acides organiques, qui protègent et régénèrent la muqueuse intestinale.

Certaines fibres alimentaires sont solubles parce que de bas poids moléculaire. On les appelle alors des « prébiotiques », parce qu'elles stimulent de façon ciblée la croissance des bactéries « probiotiques » ou bonnes bactéries de l’écosystème intestinal.

Puisque votre flore intestinale se nourrit de fibres, il ne faut pas la laissez dépérir en la privant des fibres solubles. C’est ce qui est apporté majoritairement par les fruits de saison bien mûrs et une grande variété de légumes (priorité aux crucifères).

Préférez des légumes et des fruits bio, car il ne contiennent pas de pesticides (cancérigènes) et de conservateurs (antibactériens et antifongiques qui altèrent votre flore intestinale).

Redécouvrez les produits lactofermentés

Toutes les semi-conserves fermentées contiennent des bactéries du groupe lactique (Lactococcus, Enterococcus, Leuconostoc, Pediococcus, Streptococcus, Lactobacillus).

Intuitivement, nos ancêtres avaient compris que les produits lactofermentés se conservaient bien et que leur consommation favorisait leur santé. Depuis le début du siècle dernier, des microbiologistes ont mis progressivement en évidence que certaines bactéries qui se développent spontanément dans les produits lactofermentés ont des caractéristiques « probiotiques » c’est-à-dire bénéfiques à la santé.

La choucroute est consommée depuis l'époque des Romains et le chou fermenté reste un plat important dans la cuisine d'Europe centrale, de l'Alsace jusqu'à l'Ukraine. En Pologne, c'est le jus de betterave rouge fermenté qui forme la base du plat national, le Borsch (soupe de betterave rouge).

Dans les pays asiatiques aussi, le chou fermenté est important, comme le « Kimshi » de Corée, mais la plupart des légumes peuvent être consommés sous cette forme : carottes, aubergines, oignons, concombres...

Dans notre alimentation occidentale, les olives, les cornichons, les betteraves rouges, les navets, etc. peuvent être conservés par lactofermentation. A noter cependant que de plus en plus l'industrie agro-alimentaire conserve ces produits dans des saumures ou dans du vinaigre ou les stérilise après la fermentation, ce qui détruit les bactéries. La bière actuelle, bien que fermentée, est le plus souvent pasteurisée et contient très peu de bactéries et de levures.

Les laits fermentés, en revanche, sont tous riches en bonnes bactéries douées de caractères « probiotiques » de performances différentes selon l’espèce et le biotype bactérien utilisés.

C’est le cas du yoghourt (fermenté par Streptococcus thermophilus et Lactobacilus bulgaricus), du lait à l’acidophilus (fermenté par Lactobacillus acidophilus), du lait au bifidus (fermenté par Bifidobacterium bifidum, longum, breve ou lactis), du kéfir (fermenté par plusieurs espèces de Lactococcus, Leuconostoc, Lactobacillus, Sacharomyces, Kluyveromyces, etc.). Tous ces laits fermentés présentent un intérêt pour la santé, surtout lorsque la matière première est du lait de chèvre, de brebis ou de jument. En ce qui concerne les yaourts classiques, ils présentent moins d’intérêt car de plus en plus de personnes développent une intolérance au lait de vache, avec manifestations inflammatoires (rhinite, sinusite, arthrite, arthrose, etc.).

Adaptez votre façon de manger

Veillez à suffisamment mâcher et imprégner vos aliments de salive, notamment ceux riches en amidon (céréales, fruits et légumes). Une bonne mastication garantit que la première phase de la digestion ait lieu dans la bouche sous l’effet de l’amylase de la salive et évite une fermentation intestinale incomplète, source de troubles digestifs.

Evitez d’abuser des aliments pouvant entraîner chez certaines personnes des réactions d’intolérance immunitaire : lait de vache et ses dérivés, céréales modernes riches en gluten et leurs dérivés.

Pas d'eau chlorée

La raison pour laquelle du chlore est ajouté dans l'eau du robinet avant d'être distribuée est précisément que cela permet de tuer les germes nuisibles qu'elle peut contenir.

C'est une excellente chose, et c'est depuis que ces mesures ont été prises que la dysenterie ou le choléra ont disparu dans nos pays industrialisés.

Cependant, il faut bien comprendre que le chlore a le même effet dans votre tube digestif : il a tendance à le désinfecter, tuant indifféremment mauvais et bon microorganismes. Evitez donc tout contact inutile avec des substances bactéricides (qui tuent les bactéries) ou fongicides (qui tuent les levures et champignons), y compris les produits pour désinfecter les mains et la peau, car elles tuent indifféremment les bonnes et les mauvaises souches microbiennes. Or, la peau et les organes sexuels sont aussi couverts d’une microflore qui s’oppose aux germes nuisibles ; il convient donc de la préserver.

Ces précautions étant prises, votre microflore de protection va d'elle-même se rééquilibrer, à condition que votre alimentation et votre mode de vie le permettent car ils sont les moyens les plus puissants de retrouver une bonne santé.

Pour faciliter le processus, vous pouvez toutefois aussi prendre certains compléments alimentaires. Le problème est qu'ils sont très difficiles à obtenir. La plupart des « probiotiques » vendus dans le commerce ne marchent pas, ne serait-ce que parce qu'ils sont vendus en comprimés, ce qui suppose de leur appliquer une forte pression qui fait monter la température... et tue les bactéries vivantes !

Référence: http://www.santenatureinnovation.com/

Isabelle Turcotte 02.08.2018 10:35

Les Phytonutriments

https://askthescientists.com/fr/phytonutriments/?associate=12263373%3Fassociate%3D12263373

Bernard Duchesne 13.01.2016 18:02

Merci pour toute la belle information. j'en prend bonne note

Yolande 29.08.2013 21:03

Merci pour les infos sur la cellulite

Commentaires

01.08 | 18:22

I do not understand too much your comment do you mean that you are a tall thin because here we take everyone no discrimination.

01.08 | 18:21

je comprends pas trop votre commentaire voulez-vous dire que vous êtes un grand mince parce qu'ici on prend tout le monde pas de discrimination.

01.08 | 18:00

i am here looking for a great thin

13.01 | 04:00

Merci beaucoup pour toutes ces informations. Pour davantage d'informations voici in site intéressant : https://www.ency-diabete.com/2018/12/introduction-diabete-definition.html